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Vie pro

Quels salariés ont le plus tendance à démissionner ?

Par Guirec Gombert • Publié le • Modifié le

Et si changer d’entreprise n’était pas qu’un acte purement individuel…

Les meilleurs partent-ils toujours les premiers ? Les hommes et les femmes sont-ils égaux face à la mobilité professionnelle ? Qui des cadres ou des ouvriers quittent le plus volontairement leur emploi ? Le salaire ou encore le secteur d’activité entrent-ils en jeu lors d’une démission ? Autant de questions auxquelles répond le Centre d’études de l’emploi dans sa dernière étude «Qualité de l’emploi et aspirations professionnelles : quels liens avec la mobilité volontaire des jeunes salariés en CDI ?»

> Quand (trop) changer d’emploi nuit à votre carrière

Assez logiquement, on pourrait penser que ce sont les salariés les moins bien payés et ceux ayant de moindres opportunités de progresser dans leur entreprise qui chercheront en priorité à améliorer leur carrière professionnelle. La mobilité s’expliquerait alors par «la qualité des emplois occupés et par les aspirations professionnelles des individus». Les jeunes en CDI qui quittent leur emploi justifient d’ailleurs leur décision par l’envie d’améliorer leurs conditions de travail, leur autonomie ou encore la reconnaissance de leur hiérarchie. Des choix a priori individuels. Un récent sondage va dans ce sens : pour 75% des sondés il est plus facile d’être fidèle à son conjoint qu’à l’entreprise, la première tentation étant la rémunération (53%). Mais les choses sont plus complexes et finalement pas si surprenantes. D’ailleurs si 51% des salariés répondent qu’ils aimeraient changer d’entreprise, seulement 16% déclarent vouloir vraiment changer d’entreprise… Et pour cause, au travail, les plus favorisés – ceux les plus à même de «connaître une trajectoire professionnelle favorable sur le marché du travail», selon le CEE – sont aussi ceux qui sont les plus «susceptibles de réaliser des mobilités volontaires». A l’inverse, ceux qui ont des salaires et/ou des qualifications relativement faibles vont privilégier leur stabilité sur le marché du travail, «plutôt que se risquer à mettre et satisfaire d’autres souhaits relatifs à la qualité de leur travail», explique le CEE.

Une étude que chacun interprétera à sa façon mais qui permet de «montrer l’effet négatif d’un cumul de conditions d’emploi défavorables : si le salarié est à temps partiel (et) qu’il a également un faible salaire, cela diminue finalement sa probabilité de démissionner», conclut le CEE.

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